L’augmentation à 96 francs par tonne de CO2 à partir du 1er janvier 2018 est la dernière étape prévue par la législation en vigueur jusqu’en 2020. Elle était nécessaire, étant donné qu’en 2016, les émissions de CO2 dues aux combustibles étaient supérieures à ce que prévoyait l’objectif intermédiaire (73% des émissions de 1990). En revanche, l’objectif intermédiaire de 76% a été atteint. Le non-respect de cette valeur aurait déclenché une augmentation du montant de la taxe à 120 francs par tonne de CO2, soit le montant maximal prévu par la loi.